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Les Entreprises Jace aux ruptures de la mondialisation

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      <subfield code="a">Les Entreprises Jace aux ruptures de la mondialisation</subfield>
      <subfield code="c">Mahamoud Islam, Ludovic Subrap</subfield>
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      <subfield code="a">Le commerce mondial montre des signes de faiblesse. Il se contracterait de  3 % cette année (en valeur). Les raisons en sont la faiblesse de la demande mondiale, l'intensification de la guerre des prix, et des politiques publiques qui soutiennent peu le commerce extérieur. Plus inquiétant, à moyen terme, le commerce mondial devrait croître en deçà de + 4 % par an, en volume, soit deux fois moins vite qu'avant la crise de 2009. Multiplication des chocs de demandes, financement en dollars plus difficile et protectionnisme en hausse sont autant de facteurs qui expliquent ces ruptures de la mondialisation. Dans ce contexte, les entreprises devront faire face à une recrudescence des risques pays et des impayés. Dans un environnement international difficile, les entreprises pourront en revanche compter sur le commerce de services et le numérique, toujours en croissance, l'investissement, les acquisitions et l'innovation comme portes de sortie, et la conquête de clients dans des pays plus proches, plutôt que d'aller les chercher trop loin, trop vite.</subfield>
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      <subfield code="a">Comercio internacional</subfield>
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      <subfield code="t">Risques : les cahiers de l'assurance</subfield>
      <subfield code="d">Paris : FFSA, 1990-</subfield>
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      <subfield code="g">05/12/2016 Número 108 - diciembre 2016 , p. 85-90</subfield>
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