La Protection des données personnelles : nouvelle ligne Maginot?
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<subfield code="a">La Protection des données personnelles</subfield>
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<subfield code="c">Pauick Thourot</subfield>
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<subfield code="a">La société fran~aise n'est pas loin de la schizophrénie en matiere de protection des données personnelles. La Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) nous assure de la mise sous bonne garde d'un numéro de sécurité socia/e auquel nul, méme le fisc, ne peut accéder, tandis que nous racontons notre vie quotidienne sur facebook, adhérons a de multiples réseaux sociaux qui publient a travers la planete nos foits et gestes, nos moeurs, nos photos, nos achats, nos lieux de vacances. En revanche, les assureurs se voient notifler par la Cnilleurs droits restreints a l'acces aux secrets de leurs clients, sauf dans certains cas précis. Pendant ce temps, le doud se charge chaque minute d'informations sur la vie quotidienne de chacun de nous, que nous communiquons a des tiers, comme Titus et Bérénice OJ, « invitus invitam ».(2) Encore que le collecteur de données sache peut-etre ce qu'il en Jera, ou au moins a qui il pourra les vendre. Cet article voudrait aider le lecteur a prendre conscience des réalités de la protection des données personnelles autour de trois themes : un contexte juridique en difficulté, une réalité technologique dévorante, un client a qui l'on demande trop peu son avis. </subfield>
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<subfield code="d">Paris : FFSA, 1990-</subfield>
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<subfield code="g">06/03/2017 Número 109 - marzo 2017 , p. 69-73</subfield>
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